Tentatives forcées d’introduire des références Taylor Swift dans la politique et les médias — une liste

Tentatives forcées d’introduire des références Taylor Swift dans la politique et les médias — une liste

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Dites ce que vous voulez sur les politiciens de 1964, mais aucun d’eux n’a regardé les premières manifestations de Beatlemania en pensant qu’ils feraient mieux de saupoudrer leurs discours de références à “From Me To You”.

L’arrivée de Taylor Swift sur nos rivages, en revanche, a occasionné des contorsions remarquables de notre classe médiatique et politique pour intégrer dans leur travail une référence attrayante pour les clics à Swift.

Actualités

L’annonce initiale de la tournée Eras a déclenché un cycle de reportages internationaux sur la manière dont elle pourrait sauver l’Australie de la récession, et même si nous pourrions légèrement contester son statut de “nouvelle”, l’arrivée de son jet privé la semaine dernière a occupé une place de choix sur les pages d’accueil de certains de nos plus grands journaux.

Le principal dirigeant de l’Agence de protection de l’environnement de la Nouvelle-Galles du Sud, Tony Chappel, a voulu mettre en perspective les impacts sanitaires possibles sur les enfants après la découverte d’amiante – la Taylor Swift des carcinogènes – dans le paillis de plusieurs écoles.

“Tous nos tests à Olympic Park sont négatifs,” a-t-il déclaré. “Je peux dire avec certitude que la cité-port est prête à accueillir Taylor Swift les bras ouverts.”

Leaders

Anthony Albanese est resté relativement discret sur Swift pendant sa visite, surtout compte tenu du fait qu’elle est arrivée en deuxième position dans son “Spotify wrapped” de 2023 et qu’il a une longue histoire de fandom avoué. Ce sont ses paroles, plutôt que, disons, celles de Billy Bragg, qu’il a utilisées pendant la “période piège” de sa campagne électorale: “Voici un commentaire de Taylor Swift pour vous. Ma théorie est de la ‘secouer’,” a déclaré Albanese à l’époque.

Il est peut-être trop ambitieux d’espérer qu’il a appris des tentatives molles d’autres politiciens, confrontés à des figures d’extrême-droite, pour coopter la culture populaire – ou peut-être a-t-il simplement entendu lui-même dire “la fièvre Tay-Tay est là” sur Gold Coast radio en juin dernier.

Mais compte tenu de l’addiction qu’ont les politiciens australiens à citer Swift – ses paroles ont orné Hansard pas moins de 28 fois depuis 2015 – on peut seulement supposer qu’il n’est qu’une question de temps avant que Dutton fasse une référence de “Ravi de vous rencontrer, où étiez-vous?” à propos des voyages fréquents d’Albanese à l’étranger.

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